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Pour ce vingt-cinquième épisode, Guillaume et Ken sont une nouvelle fois physiquement réunis pour converser avec ce cher Téo le Fou, ce dernier ayant d'ailleurs troqué son bon poulet pour d'énormes cornichons bien croquants. Le mois de Septembre, c'est souvent synonyme de rentrer, de bilan de l'été écoulé, et même si on a pas vraiment eu de vacances à merugezu, on a quand même tenu à dresser un petit bilan en continuité du sujet abordé le mois dernier: les fameux jeux de l'été. Un certain "A Plague Tale", jamais évoqué dans les podcasts jusqu'alors, a cette fois eu le droit a une place de choix, on vous laisse découvrir ça.

Passé l'énumération de souvenirs vécus dans la moiteur estivale, on s'est attaqué à une nouvelle qui a fait tout autant transpirer l'équipe: l'annonce du changement de gameplay de Shin Yakuza, dorénavant nommé Ryo Ga Gotoku 7 au Japon et Yakuza: Like a Dragon en Occident. Héritière du beat'em up 3D façon SEGA, la série se tourne dorénavant vers le RPG au tour par tour, au grand plaisir de certains quand d'autres y voient là une dénaturation de ce qui était une force de Yakuza. Vous vous en doutez, tout le monde n'était pas d'accord, et ça a donné lieu a un petit débat aussi vinaigré que les cornichons de Téo.

Enfin, en troisième partie, Ken a lancé un débat qu'il voulait évoquer dans La Biobiotheque mais qui a été coupé au montage faute de temps: le jeu vidéo, dans son circuit de distribution classique, n'a-t-il pas de plus en plus de mal à céder la place aux jeunes ? Les "stars" de l'industrie, surtout du côté japonais, sont pour la plupart âgés d'une cinquantaine d'années. Leur nom est un label qui permet de faire vendre, au détriment des plus jeunes qui ont de moins en moins de place pour briller. On s'est donc attardé sur la question, en essayant au passage de comparer la situation avec l'Occident, où l'égo-trip prend une forme un peu différente.

Bonne écoute / Bon visionnage !