Figure des déshérités qu’affectionnait Courbet, le chemineau est disposé avec monumentalité au premier plan de l’œuvre, sur un fond de paysage peint avec la franchise d’expression typique du maître d’Ornans. Restaurée en 2005, cette œuvre depuis lors attribuée à Gustave Courbet, s’intègre ainsi harmonieusement à sa série ‘‘Les grands chemins’’.