Petit rappel : le 1er octobre dernier, une nouvelle réglementation en matière de travail temporaire est entrée en vigueur. C’est la conséquence d’un accord intervenu entre les partenaires sociaux au sein du Conseil national du travail qui a pris la forme d’une Convention collective de travail. Objectif : améliorer l’information et la transparence dans la gestion des contrats de travail journaliers. Impossible d’entrer dans les détails, voici donc les trois points les plus importants de cet accord. 1. L’entreprise qui recourt à ce type de contrats de travail doit communiquer chaque semestre au Conseil d’entreprise ou au Fonds social pour les intérimaires le nombre de ses contrats journaliers successifs et le nombre des personnes concernées. 2. Flexibilité, oui. Mais dans la transparence. L’entreprise doit étayer par des chiffres sa décision de recourir à des contrats de travail journaliers successifs. Et 3. Le Conseil national du travail estime qu’il faut réduire le nombre de ces contrats. L’objectif est de les réduire de 20 % sur 2 ans. Vous voulez les détails ? Votre secrétariat social est au courant.