Désormais découpé en un format plus léger que les tomes originaux, Aurion revient ici avec une cinquième partie. • Type d’ouvrage : bande dessinée (en couleurs), adaptation du jeu vidéo éponyme. • Nombre de pages : 100. • Éditeur : Kiro’o Games • Disponible sur : Amazon (Europe) et Waandacomics (Cameroun et autres pays d’Afrique francophone). • Note de la rédaction : pour des raisons de transparence envers nos lecteurs, nous précisons que l’auteur de cet article a participé à la réalisation de cet ouvrage en tant que relecteur (activité annexe sans lien avec tryagame.fr). Article non-sponsorisé. Le vent de l’évolution Nous en parlions un peu plus tôt dans un autre article, cette partie 5 d’Aurion marque un changement dans l’histoire de la licence. Comme l’indique Dominique Yakan Brand en début d’ouvrage, les deux protagonistes voient leurs prénoms « africanisés » afin de mieux coller à l’univers afro-fantasy de l’œuvre. Un choix – validé par les lecteurs lors d’un sondage – qui déroute forcément lorsque l’on a été habitués à Érine et Enzo (qui deviennent Ewineh et Enkwo) mais qui s’inscrit dans une logique de cohérence et qui a pour but de rattraper ce qui est désormais officiellement une erreur de deux créateurs « jeunes et cons » – pour reprendre les termes de Dominique Yakan Brand et d’Olivier Madiba, les deux scénaristes et fondateurs de Kiro’o Games. Au chapitre des évolutions, on continue avec cette partie 5 d’assister à l’amélioration constante du travail graphique de Georges Pondy, le dessinateur attitré. Alors que cette partie est dédiée à l’affrontement entre nos deux protagonistes et la brute épaisse à la tête des bandits de la forêt de Bodiop, le trait de l’artiste se fait ici plus précis, et ses poses, plus travaillées. Si le découpage des scènes d’action est parfois un peu trop « carrée », on note une amélioration...



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