« Écrire ce qu’on connaît » est un des conseils les plus répandus, qui a généré au fil de l’histoire littéraire des positions assez polarisées. La narration se nourrit bien sûr de l’expérience de l’auteur, mais cette notion s’effondre tout particulièrement dans les domaines de l’imaginaire, qui ont par nature un rapport à la réalité particulier. Toute la clé, on le verra, se trouve dans le sens que l’on donne au mot « connaître ».
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