Le proverbe dit qu’on ne peut se baigner deux fois dans la même rivière, et chaque parcours d’artiste est unique ; mais dans cet épisode, tout le monde dévoile les coulisses de ses débuts, et notamment les premiers contacts, dans l’espoir peut-être d’inspirer ceux et celles qui suivent.
Estelle a le début de carrière peut-être le plus proche de l’époque actuelle, grâce à la présence d’Internet ; elle mentionne l’importance des salons dans son parcours, mais rappelle que ce n’est pas non plus une nécessité.
Mélanie parle aussi de l’importance des rencontres, mais qu’elles ne sont pas nécessairement difficiles à entreprendre ; beaucoup de contacts se déroulent naturellement, autour de la passion et des goûts communs.
Lionel évoque la tradition perdue du fanzinat, et montre combien saisir la bonne occasion qui est offerte peut infléchir le cours d’une carrière, voire d’une vie.

Références citées

  • Le festival Imaginales
  • Le festival les Galaxiales
  • Poppy Z. Brite
  • La revue Ténèbres
  • Fabrice Bourland et la revue Nouvelle Donne
  • Les éditions NestiveQnen
  • Les éditions L’oxymore
  • Léa Silhol
  • Le commandant Cousteau
  • Le festival Étonnants Voyageurs
  • Mœbius
  • Jean-Pierre Dionnet
  • Stéphane Manfrédo
  • La revue Galaxies
  • La revue Bifrost
  • (À cette fameuse table ronde d’Étonnants Voyageurs, Lionel se demande avec le recul si la troisième revue présente n’était peut-être pas plutôt Yellow Submarine)
  • Stéphanie Nicot
  • Jean-Daniel Brèque
  • Lucie Chenu
  • Les éditions Critic
  • Le festival Utopiales (et le bar de madame Spock)