(0:00): L’introduction présente les partenaires et les intentions générales de Profil Ludique ainsi que les raisons pour lesquelles notre baladodiffusion portera cette saison sur les simulateurs de marche (walking simulators).

(5:13): En prenant le jeu de tir à la première personne comme étude de cas, la discussion aborde ensuite la notion de genre en référant au modèle de Alastair Fowler (oeuvre innovatrice, paradigmatique et ultime) utilisé par Dominic Arsenault dans sa thèse de doctorat sur les genres vidéoludiques.

(15:48): Ces bases théoriques sont employées afin de situer le simulateur de marche comme genre émergent ainsi que Dear Esther (The Chinese Room, 2012) comme jeu vidéo logé aux frontières entre l’œuvre innovatrice et paradigmatique.

(17:10): La deuxième moitié de l'épisode s’attarde plus longuement sur ce jeu marquant. Sa narrativité ambiguë est l’objet d’une description et de quelques interprétations possibles.

(49:25): Par la suite, l’attention se porte sur les caractéristiques ludiques de Dear Esther qui sont jugées représentatives du simulateur de marche en tant que genre en plein processus de cristallisation thématique et formelle.

(56:36): La conclusion annonce le sujet du prochain épisode qui s’intéressera à la réception du simulateur de marche dans la culture vidéoludique.