Venue de Kinshasa, la photographe, poétesse et slameuse Do Nsoseme participe à l’exposition À travers son regard – Les femmes s’élèvent pour la paix, présentée au siège des Nations Unies à New York à l’occasion du 25ᵉ anniversaire de la résolution 1325, qui a inscrit à l’ordre du jour du Conseil de sécurité l’agenda « Femmes, paix et sécurité ».Fruit d’un partenariat entre Photoville, le Département des opérations de paix des Nations Unies et ONU Femmes, cette exposition itinérante met en lumière des femmes qui œuvrent pour la paix en République démocratique du Congo, en Haïti et dans d’autres pays.« Ce n’est pas juste cliquer et partager des photos, c’est un devoir, une lutte », confie Do Nsoseme, qui considère son art comme une contribution à la construction de la paix.Ses clichés révèlent la détermination et le courage de femmes engagées pour le changement. Pour elle, raconter leurs histoires, c’est déjà un pas vers la paix.Écoutez son entretien avec ONU Info. (Interview : Do NSoseme, photographe et slameuse congolaise; propos recueillis par Alban Mendes de Leon)
Emissions- ONU Info - L'actualité mondiale Un regard humain
- 🎙️« Je me sens responsable de mettre les femmes en lumière » - Do Nsoseme
Publié le par United Nations
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Podcasts sur les mêmes thèmes
Les Documentaires
Pour être bien comprise et largement partagée, la vie du droit nécessite d’être documentée. Et bien documenter ce fait en allant chercher les thèmes là où ils prennent leur source et se nourrissent, pas seulement chez les juristes et au-delà des livres : dans tous les aspects de notre quotidien, les petits ou grands événements de notre histoire, les arguments échangés lors des controverses, près de chez nous comme à l’autre bout du monde, à l’écran ou lors d’une rencontre. Les rendez-vous documentaires poursuivent une vocation aussi informative que ludique, en rassemblant entretiens, extraits d’archives, de reportages, mises en perspectives et commentaires sur un thème ou une question choisie par un expert.
Pour être bien comprise et largement partagée, la vie du droit nécessite d’être documentée. Et bien documenter ce fait en allant chercher les thèmes là où ils prennent leur source et se nourrissent, pas seulement chez les juristes et au-delà des livres : dans tous les aspects de notre quotidien, les petits ou grands événements de notre histoire, les arguments échangés lors des controverses, près de chez nous comme à l’autre bout du monde, à l’écran ou lors d’une rencontre. Les rendez-vous documentaires poursuivent une vocation aussi informative que ludique, en rassemblant entretiens, extraits d’archives, de reportages, mises en perspectives et commentaires sur un thème ou une question choisie par un expert.
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Le Bien commun
Le droit est un art de formuler et d’arbitrer nos conflits. Ce n’est pas un ensemble figé de règles, il est un langage collectif et la justice est devenue l’enceinte dans laquelle une société toute entière se met en scène, se regarde et prétend se changer, bref, un lieu dans lequel s’élabore, non sans difficulté, la démocratie. Une démocratie dans laquelle le droit appartient à tous, c’est notre bien commun.Diffusée pour la première fois en 1999 dans les programmes de France Culture et après quinze années sur son antenne, l’émission phare d’Antoine Garapon renaît sur les ondes d’Amicus radio.L’émission poursuit un double objectif : vaincre les préjugés négatifs à l’égard du droit et permettre aux auditeurs de se l’approprier, et trouver les arguments pour en discuter les solutions, en comprendre les controverses, sans tomber dans l’effervescence de la polémique.Une émission d'Antoine Garapon, produite par Amicus radio.
Le droit est un art de formuler et d’arbitrer nos conflits. Ce n’est pas un ensemble figé de règles, il est un langage collectif et la justice est devenue l’enceinte dans laquelle une société toute entière se met en scène, se regarde et prétend se changer, bref, un lieu dans lequel s’élabore, non sans difficulté, la démocratie. Une démocratie dans laquelle le droit appartient à tous, c’est notre bien commun.
Diffusée pour la première fois en 1999 dans les programmes de France Culture et après quinze années sur son antenne, l’émission phare d’Antoine Garapon renaît sur les ondes d’Amicus radio.
L’émission poursuit un double objectif : vaincre les préjugés négatifs à l’égard du droit et permettre aux auditeurs de se l’approprier, et trouver les arguments pour en discuter les solutions, en comprendre les controverses, sans tomber dans l’effervescence de la polémique.
Une émission d'Antoine Garapon, produite par Amicus radio.
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BAD PHILOSOPHY
Développez votre talent caché ! Cultivez l’art de la ruse en écoutant ce puissant podcast. Apprenez-y à déjouer les pièges de la modernité. Devenez un aimant à femmes.
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PaysRomand.ch: la radio avec du point ch dedans - la première radio locale web suisse romande en podiffusion
première podiffusion francophone sur l'actualité et billet d'humeur de la suisse romande
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L'Echo des codes
Selon la phrase de Pierre Hébraud, “l’histoire n’est pas une cause accidentelle ou une explication ; elle est le signe et le témoin des facteurs permanents”. Tel est le programme que se propose de réaliser L’écho des codes. Car l’histoire du droit est une matière vivante qui anime chaque institution, chaque article de loi, chaque décision de justice et qui irrigue les moeurs d’une société. Elle n’est pas explication du présent pas plus qu’elle n’est description du passé. Elle n’est pas folklore et elle n’est pas musée. Elle est la source et le relais des éléments de composition de toute contemporanéité qui résonnent à travers elle en échos successifs jusqu’à nous. L’écho des codes est un temps de culture juridique et judiciaire à travers l’éclairage de l’actualité par le regard de juristes historiens. Initiée par Boris Bernabé, la série est aujourd'hui animé par Valérie Ménès-Redorat et Pierre-Vincent Letourneau. Une production Amicus radio.
Selon la phrase de Pierre Hébraud, “l’histoire n’est pas une cause accidentelle ou une explication ; elle est le signe et le témoin des facteurs permanents”. Tel est le programme que se propose de réaliser L’écho des codes. Car l’histoire du droit est une matière vivante qui anime chaque institution, chaque article de loi, chaque décision de justice et qui irrigue les moeurs d’une société. Elle n’est pas explication du présent pas plus qu’elle n’est description du passé. Elle n’est pas folklore et elle n’est pas musée. Elle est la source et le relais des éléments de composition de toute contemporanéité qui résonnent à travers elle en échos successifs jusqu’à nous. L’écho des codes est un temps de culture juridique et judiciaire à travers l’éclairage de l’actualité par le regard de juristes historiens.
Initiée par Boris Bernabé, la série est aujourd'hui animée par Valérie Ménès-Redorat et Pierre-Vincent Letourneau. Une production Amicus radio.
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Les Temps électriques
Les temps électriques, ce sont ceux décrits par l’auteur de science-fiction Philip K. Dick, dans le roman “Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ?”, des temps où l’humanité y est interrogée en miroir de robots plus intelligents que leurs concepteurs. Notre présent tisse déjà ce futur, en introduisant dans notre quotidien l’intelligence artificielle, le calcul de risque, les probabilités, la prévision voire la prédiction dans tous les champs de l’activité humaine.Dans le contexte particulier de la justice, ces outils bouleversent déjà notre conception des moyens permettant la résolution de litiges entre individus : les “Legaltech”, start-ups spécialisées mêlant juridique et numérique, proposent une offre de plus en plus foisonnante tant à destination des professionnels que des particuliers, offre qui sera peut-être susceptible de substituer un jour au juge, au procureur, à l’avocat ou au greffier… et à l’humain d’une manière générale. “Les temps électriques” sont donc l’occasion de s’interroger, un instant, sur l’avenir de la justice que nous nous préparons. En vulgarisant tout d’abord les termes des débats actuels, en mettant en présence les différents acteurs et – surtout – en donnant la parole à ceux qui devront faire vivre la justice de demain et trouver la bonne mesure des outils de leur temps. Une émission de Yannick Meneceur et Sophie Sontag-Koenig, produite par Amicus radio.
Les temps électriques, ce sont ceux décrits par l’auteur de science-fiction Philip K. Dick, dans le roman “Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ?”, des temps où l’humanité y est interrogée en miroir de robots plus intelligents que leurs concepteurs. Notre présent tisse déjà ce futur, en introduisant dans notre quotidien l’intelligence artificielle, le calcul de risque, les probabilités, la prévision voire la prédiction dans tous les champs de l’activité humaine.
Dans le contexte particulier de la justice, ces outils bouleversent déjà notre conception des moyens permettant la résolution de litiges entre individus : les “Legaltech”, start-ups spécialisées mêlant juridique et numérique, proposent une offre de plus en plus foisonnante tant à destination des professionnels que des particuliers, offre qui sera peut-être susceptible de substituer un jour au juge, au procureur, à l’avocat ou au greffier… et à l’humain d’une manière générale. “Les temps électriques” sont donc l’occasion de s’interroger, un instant, sur l’avenir de la justice que nous nous préparons. En vulgarisant tout d’abord les termes des débats actuels, en mettant en présence les différents acteurs et – surtout – en donnant la parole à ceux qui devront faire vivre la justice de demain et trouver la bonne mesure des outils de leur temps.
Une émission de Yannick Meneceur et Sophie Sontag-Koenig, produite par Amicus radio.
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