À l’occasion de la Journée de tolérance zéro à l’égard les mutilations génitales féminines (MGF), l’ONU sonne l’alarme en soulignant qu’environ 4,4 millions de filles dans le monde risquent de subir ces mutilations cette année, s’ajoutant aux plus de 200 millions qui ont déjà subi cette violation flagrante des droits humains.L’Organisation a placé la Journée sous le thème « Sa voix. Son avenir », appelant ainsi à investir dans les survivantes engagées pour mettre fin à cette pratique néfaste qui consiste à enlever une partie ou l’ensemble des organes génitaux féminins pour des raisons non médicales.A l’instar de Roukiatou Sedgo, fondatrice de la plateforme Vivre avec l’excision. C’est la propre expérience de cette survivante burkinabé qui l’a motivée à créer cette ONG.« Ce n'est pas un secret pour les millions de survivantes des MGFs dans le monde qu'il n'y a pas vraiment beaucoup d'informations fiables qui circulent », explique-t-elle. Elle raconte combien elle a eu du mal en son temps à trouver des informations et des soins pour les diverses séquelles liées à l’excision. Elle-même a souffert d’une longue hémorragie, de l’anémie qui s’en est découlée, de douleurs et du traumatisme.Dans cette interview avec ONU Info, Roukiatou Sedgo revient sur les services d’appui proposés par Vivre avec l’excision ainsi que sur le travail de sensibilisation. Elle donne un tour d’horizon détaillé des conséquences souvent mortelles et revient sur les différents soins. (Interview : Roukiatou Sedgo, fondatrice de la plateforme Vivre avec l’excision primée par UNFPA ; propos recueillis par Cristina Silveiro)
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- 🎙️ « Je ne comprenais pas pourquoi on se faisait exciser... partout on voyait des affiches 'Stop à l'excision' »
Publié le par United Nations
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L'Echo des codes
Selon la phrase de Pierre Hébraud, “l’histoire n’est pas une cause accidentelle ou une explication ; elle est le signe et le témoin des facteurs permanents”. Tel est le programme que se propose de réaliser L’écho des codes. Car l’histoire du droit est une matière vivante qui anime chaque institution, chaque article de loi, chaque décision de justice et qui irrigue les moeurs d’une société. Elle n’est pas explication du présent pas plus qu’elle n’est description du passé. Elle n’est pas folklore et elle n’est pas musée. Elle est la source et le relais des éléments de composition de toute contemporanéité qui résonnent à travers elle en échos successifs jusqu’à nous. L’écho des codes est un temps de culture juridique et judiciaire à travers l’éclairage de l’actualité par le regard de juristes historiens. Initiée par Boris Bernabé, la série est aujourd'hui animé par Valérie Ménès-Redorat et Pierre-Vincent Letourneau. Une production Amicus radio.
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Angle droit
Où en sont les « droits de l'homme » ? Définitivement consacrés pour les uns, plus menacés que jamais pour les autres… Angle droit s’invite dans le débat, 70 ans après la Déclaration universelle des droits de l’homme, en ouvrant son micro aux juristes, militants, chercheurs et autres « penseurs » du droit. Une émission de Marie Boëton, produite par Amicus radio.
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L'actualité à la sauce Pulsar !
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Le droit est un art de formuler et d’arbitrer nos conflits. Ce n’est pas un ensemble figé de règles, il est un langage collectif et la justice est devenue l’enceinte dans laquelle une société toute entière se met en scène, se regarde et prétend se changer, bref, un lieu dans lequel s’élabore, non sans difficulté, la démocratie. Une démocratie dans laquelle le droit appartient à tous, c’est notre bien commun.Diffusée pour la première fois en 1999 dans les programmes de France Culture et après quinze années sur son antenne, l’émission phare d’Antoine Garapon renaît sur les ondes d’Amicus radio.L’émission poursuit un double objectif : vaincre les préjugés négatifs à l’égard du droit et permettre aux auditeurs de se l’approprier, et trouver les arguments pour en discuter les solutions, en comprendre les controverses, sans tomber dans l’effervescence de la polémique.Une émission d'Antoine Garapon, produite par Amicus radio.
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