Les anglicismes « fitness », « fast food », « last minute » ou « e-mail », mais aussi les noms de héros fictifs comme « Spider-Man » et « Batman » font aujourd’hui partie du vocabulaire courant d’un Tchèque ordinaire. C’est ce que veut prochainement changer une proposition de loi sur la langue officielle. Présenté par des députés communistes, le projet vise en effet à introduire dans la législation l’obligation de traduire en tchèque tous les mots étrangers employés dans la sphère publique.