C’est une ville que l’on aime, ou que l’on n’aime pas. Une ville comme aucune autre en Tchéquie, qui ne laisse personne indifférent. Une ville où le baroque, le gothique ou la Renaissance, autant de styles qui font le charme des lieux ailleurs, n’ont pas leur place. Mais aussi une ville dont le surnom, « Ostrava la noire », appartient désormais définitivement au passé et qui a su tirer profit de son riche héritage industriel pour se transformer.