durée : 00:05:30 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Après la mort du chef du Hezbollah Hassan Nasrallah et celle d'un général iranien tué au Liban par Israël, Téhéran semble ne pas aller au-delà d'une rhétorique violente, pour préserver son régime.
Des Iraniens et Syriens ont, eux, célébré la mort de Nasrallah, vu comme un bras armé de l'Iran.