[…] Après avoir bu un café avec Pénélope dans son beau bureau à l’assemblée, la Salle 101 assume ses actes en évoquant des oeuvres saines et fraîches, de nature à raffermir la morale du peuple : Gotham, série proto-fasciste à tendance molle disponible en téléchargement illégal un peu partout. Brouillards toxiques, essai d’Alexis Zimmer frais et joyeux. La main gauche de la nuit, oeuvre maîtresse d’Ursula k Relou, pardon, Ursula K. Le Guin. Complètement fou, non ?

« Je ne comprends pas, je ne comprends plus », gémit Raoul A.