Ne vous fiez pas à son nom. Même si elle nous rend de fiers services, l'IA générative (Chat GPT, Sora, Flux, Claude etc.) ne fait pas que créer. Pour fonctionner, ses serveurs dévorent de l'énergie, consomment de l'eau pour être refroidis, ainsi que des ressources précieuses comme les métaux rares pour leur construction. En restera-t-il assez pour nos autres usages, quand d'aucuns prophétisent une guerre de l'eau potable, ou estiment que les réseaux électriques ne pourront pas suivre la demande ? L'Agence internationale de l'énergie prévoit une augmentation de plus de 30% de la demande énergétique liée à l'IA et aux cryptomonnaies d'ici 2026. L'université de Californie estime quant à elle que la demande en IA pourrait accroître l'extraction d'eau de 4,2 à 6,6 milliards de mètres cubes d'ici 2027. Qu’en sera-t-il les années suivantes quand tous nos appareils, toutes nos apps, seront devenus “intelligents” ? Nous posons la question à Julien Pillot, économiste du numérique, et enseignant-chercheur à l'Inseec-Groupe Omnes Education.


Retrouvez chaque vendredi, jusqu'au dimanche 13 octobre 2024 et l'enregistrement live au Paris Podcast Festival, un nouvel épisode hors-série de Sixième Science qui vient enrichir notre fiction « Chat G Planté : le prix de l'IA ». Un thriller d'anticipation d'ailleurs disponible sur toutes les plateformes : https://pod.link/1767829113


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