Quand on sait que chaque année, 8000 couples attendent un don. Quand on connaît la lourdeur de ce qu'implique le don de gamètes, encore plus d'ovocytes... que penser de cette loi française qui continue de considérer que "donner" une partie de son corps doit rester un acte gratuit ? Quand on sait ce que suppose le don d'ovocytes, les rendez-vous répétés à l'hôpital, les injections d'hormones, le prélèvement sous anesthésie ... Pourquoi donc la France reste l'un des seuls pays à refuser d'accorder une contrepartie ?
Pourtant, des donneuses, il y en a peu. Et la communication autour du don ? Absente. Alors doit-on reconsidérer cette loi ? Doit-on envisager d'accorder une rétribution à celles et ceux qui décident de donner une infime partie de leur être, pour permettre à d'autres de devenir parents ? Ou bien doit-on continuer le don de gamètes comme un acte qui doit rester gratuit ?
La suite de notre échange, avec Anaïs, qui a un jour décidé que ne pas donner était du gâchis.
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