A partir de quel moment en vient-on à ne plus pouvoir se voiler la face ? Comment est-il possible d'oser et affirmer qu'avoir eu des enfants que l'on aime plus que tout était ... une erreur ?


"Jamais plus tu ne pourras juste t'aimer toi. J'ai pris perpétuité. C'est fini."

Parce que non, être mère n'est pas toujours synonyme de joie. Non, être parent n'est ni facile, ni évident pour tous et toutes. Pourtant, je le sais, le fait de lire ou d'entendre ces femmes qui regrettent d'avoir donné la vie interpelle et questionne, voire, dérange. Parce que cela remet en cause toute un tas de choses avec lesquelles nous avons été conditionné.e.s


Comme s'il fallait forcément des causes, des difficultés, ou bien des circonstances justifiant ces pensées.


Mais entendons-nous bien : tu as le droit d'aimer au point que cette amour soit trop lourd à supporter. Et non, ce n'est ni parce qu'ils sont petits ou turbulents. C'est là, c'est un fait, et ça reste coincé en travers, pour toute ta vie.


>> Être mère : cette charge de trop, chaque seconde sa vie

>> L'image dorée des réseaux sociaux : la mascarade d'un mensonge

>> Oublier les moments durs ? Une hypocrisie perpétuée depuis des siècles

>> Pression sociétale : sommes-nous donc des êtres conditionnés par l'idée de "la reproduction est la norme" ?

>> Le choix de la non-maternité : une option "non entendable" ?

>> Quand les politiques publiques s'en mêlent et aggravent les choses

>> Comment parvenir à avancer avec ce fardeau ... inextricable ?


Une deuxième partie forte. Forte puisqu'elle vient contredire tout ce qu'on aimerait vouloir entendre. Forte car elle amène à débat et réflexion.


Viens donc par ici mon petit, on est bien : @marie_la_graine


Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices