La maladie fait peur, surtout lorsqu'elle signifie le déclin progressif des fonctions cognitives normales. La maladie fait peur, surtout lorsque l'on sait qu'on ne peut pas en guérir. Cette maladie frappe sans crier gare, on la connait sans vouloir en entendre vraiment parler, par peur de ce qu'elle suppose.
Alzheimer. Une maladie dite dégénérative, à cause de laquelle on en vient à ne plus savoir où l’on est, de ce qu’on a fait il y 5 minutes, à ne plus reconnaître ses proches, à ne plus se reconnaître soi, à avoir des comportements étranges, incompris.
Alzheimer en chiffres, c’est environ 1 million de personnes touchées en France. Il s’agit donc de 8% des français de plus de 65 ans qui seraient atteints en 2020. Par ailleurs, on estime que 225 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année en France. Et encore, aujourd’hui, seule 1 démence sur 2 est diagnostiquée.
Mais il y a un sujet encore tabou autour de cette maladie : la question de la sexualité. Et les premières personnes touchées par les problèmes qui y sont liés sont les aidants, les proches de la victime, qui subissent de plein fouet les désagréments liés à cette maladie.
Aujourd'hui, j'ai le plaisir d'accueillir Christel Koëff, psychologue spécialisée dans l'accompagnement du sujet âgé, avec qui nous parlons sans filtre de cette maladie encore taboue, et surtout de ses conséquences sur la sexualité des patient.es et de leurs aidant.es.
Vous pouvez retrouver plus d'informations sur le site France Alzheimer // on se retrouve sur instagram @marie_la_graine
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