NOUVEAU = Les (petites) Tables Rondes de Sois Sage et Parle Fort, débattre à plusieurs, derrière un micro, et semer des graines...


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J’avais déjà évoqué le sujet dans un précédent épisode, mais aujourd'hui, j’ai le plaisir de recevoir le témoignage d’une jeune femme, qui à vécu le bore out de plein fouet. 


À la différence du burn-out, le bore-out n’est pas un craquage par surmenage professionnel. Le bore-out se caractérise par un état psychologique négatif lié à une sous-charge de travail.

Les signes avant-coureurs sont un ennui manifeste, un manque de stimulation et plus généralement une insatisfaction. L’employé ressent une inadéquation entre ses aspirations, ses valeurs et le rythme de travail qu’on lui impose. Il souffre d’être en sous-activité, alors que la société prônent la valeur travail. Les symptômes sont similaires à ceux du burn-out avec un épuisement physique et psychologique, une perte de confiance en soi.


Le burn-out commence enfin à être reconnu comme maladie professionnelle, mais l’ennui au travail demeure tabou. Mais occuper un poste où il n’y a rien à faire peut devenir un supplice.


Face à l’ennui, des habitudes « palliatives » peuvent vite se mettre en place : grignotage, pauses cigarettes plus fréquentes et parfois même, recours à l’alcool. Une étude anglaise intitulée « Bored to death » déclare que les salariés qui s’ennuient au travail présentent un risque deux à trois fois plus élevé d’accidents cardiovasculaires que ceux dont l’emploi est stimulant.


Une étude du site de recrutement Qapa, datant de 2019, donne une idée du phénomène de bore-out. On apprend que 63 % des Français s’ennuient au travail et que 28 % le jugent même « très ennuyeux ».


Alors que faire lorsque l’on est coincé dans cette situation ? Pour en parler j’ai le plaisir de recevoir Olivia, qui a vécu le bore-out de plein fouet, et a décidé de changer de vie ...




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