Sans eau, pas de vie. Pourtant, aux yeux de la loi, l'eau est encore très peu protégée – un grand nombre de villages n'ont pas accès à l'eau potable, nous décrit la juriste Kelsey Leonard. Dans cette prise de parole engagée, elle explique qu'accorder la « personnalité » juridique aux lacs et aux fleuves – et ainsi les mêmes droits qu'aux humains – représente un premier pas vers la protection de nos cours d'eau et la modification totale de la manière dont nous accordons de la valeur à cette ressource vitale.