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Ça part en SCIC

Ça part en SCIC

Publié le lundi 09 novembre 2020 à 20:57 par Bigver

Durée : 32:16

Tags : SCIC, tierslieux, ESS, statut juridique

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Créé en 2001, le statut de la Société Coopérative d'Intérêt Collectif permet de rassembler au sein d’une même coopérative des sociétaires très différents mais dont les intérêts convergent autour d’un même projet économique.
Les tiers-lieux ne font pas exception, il semble aussi que la SCIC soit un véhicule idéal pour monter et financer un lieu porté par une communauté.

Pour entrer dans les détails, je vous propose de rencontrer 3 projets très différents : La Friche la Belle de Mai (https://www.lafriche.org/) lieu culturel marseillais historique qui effectue en ce moment une transition vers le statut de la SCIC, la Halle tropisme (https://www.tropisme.coop//) un projet plus récent qui se constitue en SCIC pour lever des fonds importants et la Voisinerie de Wazemmes (https://www.facebook.com/voisineriedewazemmes), un projet plus modeste qui se décrit comme un commerce d’utilité sociale de proximité.

Alors, les tiers-lieux en SCIC sont-ils les chevaux de Troie de la marchandisation des lieux de culture et de faire ensemble ? Est-ce si facile de lever des fonds importants avec une SCIC ? On en parle avec nos 3 invités, toujours dans le Cadre de l’événement « en compagnie des tiers-lieux, organisé les 22 et 23 octobre 2020 à Roubaix.

Cette série de podcasts est proposée par la Compagnie des Tiers-lieux des Hauts-de-France. La Compagnie est une structure ouverte à tous ceux qui souhaitent contribuer et qui a vocation à représenter l’ensemble des tiers-lieux de la MEL et des Hauts-de-France.
Ses missions :

Mettre autour de la table les porteurs de projets, les collectivités, les propriétaires, pour activer des tiers-lieux vivants au service de leur territoire.
Orienter les porteurs de projet vers les ressources, les formations et les bons interlocuteurs.
Coordonner et animer la formation de facilitateur de tiers-lieux.
Communiquer et centraliser l’information.
Soutenir le développement de ressources et de dispositifs communs.
Sensibiliser les collectivités et entreprises.

Plus d'infos : https://compagnie.tiers-lieux.org/

Crédit musique générique : Manu Cornet

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Plongée à micro ouvert dans le quotidien ordinaire et extraordinaire du droit et de la justice. Acteurs volontaires ou involontaires, à titre d’expert ou de profane, de façon habituelle ou occasionnelle, ils nous livrent vingt quatre heures de leur vie personnelle et professionnelle comme elle vient.À la façon d’un témoignage impressionniste et dans la spontanéité du moment vécu, ces reportages documentent d’une façon originale la diversité de nos rapports au droit et de notre vie en société.

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Selon la phrase de Pierre Hébraud, “l’histoire n’est pas une cause accidentelle ou une explication ; elle est le signe et le témoin des facteurs permanents”. Tel est le programme que se propose de réaliser L’écho des codes. Car l’histoire du droit est une matière vivante qui anime chaque institution, chaque article de loi, chaque décision de justice et qui irrigue les moeurs d’une société. Elle n’est pas explication du présent pas plus qu’elle n’est description du passé. Elle n’est pas folklore et elle n’est pas musée. Elle est la source et le relais des éléments de composition de toute contemporanéité qui résonnent à travers elle en échos successifs jusqu’à nous. L’écho des codes est un temps de culture juridique et judiciaire à travers l’éclairage de l’actualité par le regard de juristes historiens. Initiée par Boris Bernabé, la série est aujourd'hui animé par Valérie Ménès-Redorat et Pierre-Vincent Letourneau. Une production Amicus radio.

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Les temps électriques, ce sont ceux décrits par l’auteur de science-fiction Philip K. Dick, dans le roman “Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ?”, des temps où l’humanité y est interrogée en miroir de robots plus intelligents que leurs concepteurs. Notre présent tisse déjà ce futur, en introduisant dans notre quotidien l’intelligence artificielle, le calcul de risque, les probabilités, la prévision voire la prédiction dans tous les champs de l’activité humaine.Dans le contexte particulier de la justice, ces outils bouleversent déjà notre conception des moyens permettant la résolution de litiges entre individus : les “Legaltech”, start-ups spécialisées mêlant juridique et numérique, proposent une offre de plus en plus foisonnante tant à destination des professionnels que des particuliers, offre qui sera peut-être susceptible de substituer un jour au juge, au procureur, à l’avocat ou au greffier… et à l’humain d’une manière générale. “Les temps électriques” sont donc l’occasion de s’interroger, un instant, sur l’avenir de la justice que nous nous préparons. En vulgarisant tout d’abord les termes des débats actuels, en mettant en présence les différents acteurs et – surtout – en donnant la parole à ceux qui devront faire vivre la justice de demain et trouver la bonne mesure des outils de leur temps. Une émission de Yannick Meneceur et Sophie Sontag-Koenig, produite par Amicus radio.

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