En miroir à l’architecture iranienne traditionnelle divisée entre l’externe (espace réservé aux invités et aux étrangers à la famille) et l’interne (espace privé) et en se nourrissant de la poésie iranienne classique, le cinéma iranien parle pudiquement de l’amour et crée ainsi sa propre iranité concernant les relations femme/homme. Asal Bagheri, docteur en sémiologie et linguistique, enseignante chercheuse de CY2 analysera les relations femme/homme, sous le coup de la censure, dans le cinéma iranien postrévolutionnaire.
Publié le par universiteouverte@docteo.net (Université de Cergy Pontoise)
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