Si, depuis l’après Seconde Guerre mondiale, de puissants mouvements migratoires ont conduit à des déplacements de populations des zones rurales vers les métropoles, il apparaîtrait que depuis le début du XXIe siècle, des flux inverses commencent à se structurer. La crise sanitaire récente et la crise climatique contribueraient à modifier la donne et à rebattre pour partie les cartes. Didier Desponds, professeur des universités en géographie à CY2, posera la question sur la véracité de cette inversion des flux. Ouvrira- t-elle à de nouvelles dynamiques pour les espaces de faible densité ? Conduira-t-elle à une amélioration de la qualité de vie dans les métropoles ?