J’ai beau l’avoir découvert voici très peu de temps, Frédéric Roux m’inspire assez de sympathie pour arriver à ne même pas le jalouser. La faute à sa gentillesse, sans doute, de celles qui vous font chiader vos réponses aux questions d’un blogueur au lectorat étique. Pire, le fait qu’il ait signé LE livre que j’aurais voulu écrire ne m’inspire pas la moindre acrimonie. Pensez donc : un bouquin sur un combat de boxe qui m’obsède, écrit comme on fignole une dentelle au fuseau en écoutant des perles de Tamla Motown, et dont la quatrième de couverture atteste que même Augustin Trapenard en a dit du bien dans Elle – NB : qu’il dise du bien de quoi que ce soit ne relève pas tout à fait du scoop, mais qu’il ait lu ce texte-là, oui...