L’altruisme, une qualité dont tout le monde n’est pas doté, est essentielle pour Mory. Même s’il en rit « j’ai appris l’altruisme sur le tard, gamin j’étais égoïste, je partageais pas mes jouets ! ». Pour sa défense, ils étaient 9. Un secret ? Il a eu une coupe afro (nous sommes en pleine recherche de photos à l’appui). L’engagement, pour lui, n’est pas seulement écologique, mais surtout social, auprès de producteurs et de fermiers certes installés en Afrique, mais qui ont besoin de faire vivre leurs familles. Le futur ? Il l’imagine pluriel, multiculturel et genré : « d’autres modèles que le chef cinquantenaire, blanc, au col bleu blanc rouge, peuvent exister, et avec le temps ils sont pris au sérieux et ils intéressent les médias ». Ce qui l’agace au plus haut point ? « Les gens qui doublent à la queue, ça me rend fou que personne ne leur dise rien ! ». Sa plus grande peur, c’est celle de se retrouver sans ses proches. Vivre au bout du monde, impossible pour Mory, il n’a jamais quitté Paris et ne peut pas vivre sans sa famille et ses amis. Il pleure très peu, ne se considère pas romantique pour un sou, mais travaille parfaitement en couple. Il nous raconte avec humour son meilleur échec en cuisine, absolument unanime face à l’assemblée, et nous parle de ses autres passions : le foot, les mangas, les arts primitifs, l’art inuit, la mode… tout le passionne ! Il est plus spirituel que religieux, et vit ça de façon très personnelle, entre lui, et sa croyance. Il finit par rêver à son gueuleton idéal : Alain Passard à la grillade, avec sa famille, ses potes… et aussi Michael Jordan, Omar Sy, Orelsan, et Gérard Depardieu.  

«  Le futur je le vois pluriel, multiculturel et genré ! »

 

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