En quatre ans à peine, Nicolas Beuglet est devenu la nouvelle sensation du polar en vendant plus de 800.000 exemplaires de sa trilogie consacrée à l’inspectrice norvégienne Sarah Geringen.
L’écrivain lui fait aujourd’hui une infidélité avec Grace Campbell, l’héroïne de son nouveau roman, "Le Dernier Message", qui vient de paraître chez XO.
Grace, c’est une flic écossaise qui après avoir été mise au placard par sa hiérarchie, est envoyée enquêter sur le meurtre de l’un des pensionnaires d’un monastère tout droit sorti du "Nom de la rose".
Nicolas Beuglet a le chic pour construire des intrigues machiavéliques où la science et nos peurs les plus irrationnelles se mêlent de manière étonnante. Et dessiner des personnages qui luttent pour surmonter les épreuves à un moment crucial de leur vie…
Ancien journaliste à la télévision, Nicolas Beuglet a mis plusieurs années, et un burn out au passage – pour se consacrer à l’écriture. Je l’ai retrouvé chez son éditeur, pour un entretien sans tabou, à l’heure où l’actualité semble chaque jour dépasser un peu plus la fiction…