Intituler une œuvre : pourquoi, comment ? Laurent le présente d’emblée comme un acte littéraire très fort, que Mélanie prolonge en reprenant la notion de promesse narrative – c’est le tout premier contact avec un texte. Lionel approuve en se penchant sur une structure commune des titres français : Le « quelque chose » d’autre chose ». Les trois auteurs partagent dans cet épisode quantité d’anecdotes tirées de leur expérience pour illustrer ce moment délicat dans la construction (ou l’achèvement) d’une nouvelle ou d’un roman.

Références citées (hors textes des trois intervenants) :

  • H. P. Lovercraft, L’Abomination de Dunwich
  • Gudule, La Ménopause des fées
  • Robert Heinlein, Une porte sur l’été
  • Roger Zelazny, Les Neuf princes d’Ambre
  • Star Trek Generations
  • Iain Banks, « Le cycle de la Culture »
  • Carson McCullers, Le Cœur est un chasseur solitaire
  • Katherine Pancol, Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi
  • Neil Gaiman, Miroirs et Fumées
  • Louis Wolfson, Ma mère, musicienne, est morte de maladie maligne à minuit, mardi à mercredi, au milieu du mois de mai mille977 au mouroir Memorial à Manhattan