L’intertextualité concerne la façon dont des œuvres construisent les unes sur les autres au fil du temps, et parfois même se répondent. Notion importante dans l’imaginaire car elle s’étend à la « quincaillerie », les motifs et artifices courants qu’ils se mis à employer au fil de leur évolution, ce qui peut poser un problème d’accessibilité des œuvres au lectorat.
Mélanie pense davantage aux motifs qu’aux œuvres elles-mêmes ; dans son écriture, elle se soucie toujours de ceux et celles qui peuvent ne pas connaître les genres.
Estelle pense aussi à l’accessibilité, mais ne l’oppose pas à un possible enrichissement d’une œuvre né d’une réflexion sur les façons dont le passé a pu traiter les grands motifs. Cela conduit à plusieurs niveaux de lecture.
Lionel place toujours l’histoire au-dessus de toute autre considération, mettant l’accent sur l’accessibilité au détriment de la référence, sauf si le projet en question se veut bien sûr métanarratif.

Références citées

  • Gérard Genette
  • Dracula, Bram Stoker
  • Howard Phillips Lovecraft
  • Histoires des vampires : Autopsie d'un mythe, Claude Lecouteux
  • Dans les veines, Morgane Caussarieu
  • Poppy Z. Brite
  • Aux frontières de l’aube, film de Kathryn Bigelow
  • 22/11/63, Stephen King
  • La Quête onirique de Vellitt Boe, Kij Johnson
  • The Unspeakable Vault of Doom, webcomic, http://www.goominet.com/unspeakable-vault/
  • François Baranger
  • Guillermo del Toro
  • Lovecraft Country, série de Misha Green
  • Kaamelott, série d’Alexandre Astier
  • Stranger Things, série des Duffer Brothers