De l’influence que l’on redoute pour conserver sa voix, son originalité, au suivi aveugle d’une formule, que sont exactement les codes littéraires, et surtout, où se trouvent leurs limites et leurs bénéfices ? Faut-il réinventer la roue ?
Estelle rappelle, exemples à l’appui, que pour les briser, il faut d’abord les connaître ; et notre époque a soif d’œuvres qui brisent certaines représentations surannées. Pour Lionel, les codes de la forme narrative qui ont traversé les époques présentent peut-être un intérêt parce qu’ils sont transparents, ce qui permet de déplacer l’effort mental du lecteur sur un discours ou un message. Mélanie appuie vigoureusement !

Références citées

  • Élisabeth Vonarburg
  • J. R. R. Tolkien
  • Elantris, de Brandon Sanderson
  • Guy Gavriel Kay
  • « Abyme », diptyique de Mathieu Gaborit
  • Courtney Solomon (qui a réalisé le Donjons et Dragons de 2000)
  • Peter Jackson et ses adaptations du Seigneur des Anneaux
  • Notre-Dame des Fleurs, de Jean Genet
  • Pablo Picasso