Certains personnages doivent survivre pour mener l’intrigue à bien, ce qui peut désamorcer un enjeu narratif important. Comment gérer cette situation, côté protagonistes ou antagonistes ?
Lionel avance tout de suite qu’un personnage mort ne peut plus souffrir, ce qui n’est plus drôle – et qu’on peut trouver bien des enjeux et des sorts indirects pires que la mort ! Estelle appuie l’importance de ces enjeux pour sortir de la « shock value » primaire de l’emploi de la mort et de la violence, et la nécessité de problématiser mort et survie dans sa narration. Mélanie réfléchit peu à cette question dans sa propre écriture, mais a des tas d’exemples sur le sujet tirés de la fiction qui l’ont marquée.
Références citées
- Game of Thrones, série TV adaptée des romans de G. R. R. Martin
- « James Bond », série de films inspirée des romans de Ian Fleming
- Superman, personnage de DC Comics
- Brandon Sanderson
- Highlander, film de Russell Mulcahy
- Star Wars Episode IX, L’Ascension de Skywalker, film de J. J. Abrams
- Woody Allen
- « Jason Bourne », série de films adaptés des romans de Robert Ludlum
- Doctor Who, série créée par Sydney Newman, C. E. Webber and Donald Wilson
- Roger Zelazny
- La Mort de Superman, série de Mike Carlin, Dan Jurgens, Roger Stern, Louise Simonson, Jerry Ordway et Karl Kesel
- Torchwood, série TV de Russell T. Davies
- Les Simpson, série TV de Matt Groening
- « Le Parrain », trilogie de films de Francis Ford Coppola adaptés des romans de Mario Puzo