Le prologue le plus célèbre de l’imaginaire est probablement celui du Seigneur des Anneaux ; mais Lionel argue que ce n’est plus vraiment possible d’en écrire ainsi de nos jours… Qu’est-ce qui fait un bon, ou un mauvais prologue ? Quels en sont les atouts, les fonctions ?
Estelle les adore ! Ils peuvent donner un avant-goût du premier chapitre, avancer les enjeux du récit, créer des contrastes, établir le pacte de lecture. (Et elle aime aussi les prologues mythologiques.)
Lionel les voit comme une énorme promesse narrative, qu’il va falloir payer par la suite : attention à ça !
De son point de vue de lectrice et traductrice, Mélanie approuve l’aspect accrocheur du prologue, et parle un peu des techniques de Brandon Sanderson.
Références citées
- Game of Thrones, série TV adaptée des romans de G. R. R. Martin
- Furiosa, film de George Miller
- Jean Racine
- « Les Archives de Roshar », série de Brandon Sanderson
- X-Files, série TV de Chris Carter