Médor, les oreilles ouvertes

Médor

Les explorations sonores d'un média de l'écrit

Médor est un média belge indépendant, plutôt porté sur l'écriture. Au fil des opportunités, des envies d'explorations, certains de nos contenus journalistiques ont été développés avec un volet sonore, pour que nos oreilles puissent s'ouvrir aussi grand que nos yeux. Nouveau laboratoire dans notre projet éditorial qui ne craint pas de prendre des risques et de s'essayer à des pratiques moins maîtrisées pour faire évoluer sa pratique.

Mortel

Nouvelles Écoutes

C’est le coup de fil que l’on redoute. “Papa est à l’hôpital, il ne va pas bien du tout”. L’appel qui pétrifie car il nous rapproche d’une de nos plus grandes craintes : celle de la mort. Dans le podcast “Mortel”, Taous Merakchi (plus connue sous le pseudo de Jack Parker) brise le tabou qui entoure la faucheuse en partant de sa propre fascination pour le sujet et de son histoire personnelle. "Mortel" est une production Nouvelles Écoutes.

Soundstorm Productions - Evil&Co - Saison 1

SoundStorm Productions

Bienvenue, vous êtes décédés !

"À quoi on sert ? Au début, j'en avais pas la moindre idée. Et puis j'ai entendu un jour dans le hall qu'Evil&Co devait faire monter le nombre de tampons rouges à l'entrée du purgatoire... Ça m'a fait tout drôle de savoir que j'étais utile, j'avoue. Surtout sans le faire exprès en fait ! Ah, attendez, y'a Gerard ! Ça fait 3 jours que je lui baisse son froc en criant "escalope", il essaye toujours de comprendre pourquoi !" - Tuc, employé du service ressources humaines d’Evil&Co.

Vous reprendrez bien un petit chou?

Aurélie Tramier

Livre audio "Vous reprendrez bien un petit chou?"

Vous reprendrez bien un petit chou ? est un roman feel-good qui parle des mamans, de boulot et de petits choux. Cinq générations s’y croisent pour dessiner un portrait de la femme d’aujourd’hui, de l’arrière-grand-mère à la petite-fille, en passant par la mère débordée, la grand-mère féministe et l’étudiante onirique. On y retrouve les joies et les peines de la vie de famille, les rires et les bobos, les mains qu’on saisit, potelées ou fripées. Avec Julia, Maxime, Antoine ou Sophie, on rit, on aime, on vit. Et on pleure aussi, d’une tristesse apaisante dont on ressort plus fort. La plume est fluide, poétique et tout sauf guimauve, et ne craint pas de s’attaquer à des thèmes difficiles de la maternité. C’est un livre arc-en-ciel qui chante sur fond de Provence, et où les voix des mamans, papas et enfants se croisent pour débusquer l’amour dans chaque recoin de vie où il peut se nicher.