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Né en 1958, Jean Dalibard est un ancien élève de l'École normale supérieure (1977-1981). Il a soutenu sa thèse de doctorat sous la direction de Claude Cohen-Tannoudji en 1986 et a été chercheur au CNRS jusqu'en 2012, date de son élection au Collège de France. Il effectue ses recherches au laboratoire Kastler Brossel. Il est également professeur à l'École polytechnique et il a dirigé l'école de physique des Houches de 2001 à 2006. Il a été chercheur invité au National Institute for Standards and Technology (USA), au Laboratoire Cavendish de l'Université de Cambridge (UK), et il a enseigné dans plusieurs universités étrangères. Les principaux travaux de Jean Dalibard portent sur la physique atomique et l'optique, et plus particulièrement sur la manipulation d'atomes par des champs électromagnétiques. Ce domaine de recherche est fondé sur le fait que des faisceaux laser aux caractéristiques bien choisies permettent de refroidir un gaz d'atomes ou de molécules. Les températures obtenues sont extrêmement basses, de l'ordre du millionième de degré au dessus du zéro absolu. Elles peuvent donner naissance à de nouveaux états de la matière dont le comportement, régi par la mécanique quantique, diffère fortement de celui des fluides ordinaires. Les études actuellement en cours dans l'équipe de Jean Dalibard visent à approfondir notre compréhension du comportement de la matière à très basse température. La ligne directrice est le développement d'une « ingénierie quantique » cherchant à reproduire avec les gaz d'atomes froids des situations que l'on rencontre dans d'autres domaines allant de la physique nucléaire à l'astrophysique, en passant par la science des matériaux ; en d'autres termes, ces gaz ultra-froids constituent des « simulateurs » avec lesquels on espère modéliser le comportement d'autres systèmes quantiques plus difficilement contrôlables. Principales distinctions Membre de l'Académie des Sciences (2004) Membre de European Academy of Sciences (2009) Visiting Fellow de Trinity College, Cambridge (2010) Membre de l'Academia Europaea (2011) Fellow de Optical Society of America (2012) Prix Gustave Ribaud de l'Académie des sciences (1987) Prix Mergier Bourdeix de l'Académie des sciences (1992) Prix Jean Ricard de la Société française de physique (2000) Médaille Blaise Pascal de l'European Academy of Sciences (2009) Prix des trois physiciens, Fondation de France (2010) Prix Davisson-Germer de l'American Physical Society (2012) Prix Max Born de l'American Optical Society (2012)
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Jean-Marie Tarascon est un spécialiste de la chimie/électrochimie du solide. Il est professeur à l'université de Picardie Jules Verne à Amiens où il dirige le Laboratoire de Réseau sur le Stockage Électrochimique de l'Énergie (FR CNRS 3459). Cependant l'essentiel de sa carrière s'est déroulé aux États-Unis, d'abord à Cornell University (1980), puis à Bell Laboratory et à Bellcore jusqu'en 1994. Ses travaux ont d'abord porté sur quelques propriétés électroniques de phases de Chevrel ainsi que sur leur aptitude à insérer ou deinsérer des ions alcalins. À la fin des années 1980, Jean-Marie Tarascon dirige le groupe de chimie de Bellcore et participe aux résultats obtenus sur les cuprates supraconducteurs à haute température critique, le rôle de la non stoechiométrie en oxygène, des substitutions cationiques, du magnétisme ou de la modulation des structures. Il revient toutefois à l'électrochimie des solides et devient un spécialiste mondialement reconnu : on lui doit la mise au point d'une batterie à ions lithium, basée sur un nouveau système tout plastique, actuellement commercialisée. Ses récents travaux, démontrant un mécanisme nouveau de réactivité du lithium vis-à-vis d'oxydes, sulfures, nitrures et fluorures, illustrent son désir constant de sortir des dogmes scientifiques bien établis. Il a été professeur invité au Collège de France sur la Chaire annuelle de Développement durable-Environnement, énergie et société (2010-2011) et vient d'être nommé Professeur au Collège de France sur une Chaire pérenne.
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One hundred simple fish sauces. Sixty-five ways to cook mackerel. The Catching of Unshelled Fish. Twenty-seven ways to Cook Frogslegs. Now that should certainly make you reach...
One hundred simple fish sauces. Sixty-five ways to cook mackerel. The Catching of Unshelled Fish. Twenty-seven ways to Cook Frogslegs. Now that should certainly make you reach for your apron and fish knife! How to Cook Fish by Olive Green is a vintage culinary classic, filled with simple, easy to follow recipes rendered in a terse, no nonsense style. There's none of this fiddling with scales, weights and measures. What you get is a mélange of interesting, unusual ways to cook seafood without worrying about lists of ingredients, timings, temperature or any of the conventions followed by traditional cookbooks. If you've read that old Victorian favorite, Lavender and Old Lace (which was later adapted very successfully as Arsenic and Old Lace) by Myrtle Reed, you'd certainly be interested to know that the author had an equally successful career as a writer of popular cook books. Writing under the pseudonym Olive Green, Reed published six very successful books on cooking. However, from 1898 to her suicide in 1911, she continuously published at least one novel every year. The books are romantic and highly emotional in nature, full of unrequited passion, revenge, mystery and supernatural happenings. She also wrote a collection of stories about important women who made a difference to society. In between, she wrote pamphlets, married her Canadian pen-pal, suffered severe and debilitating bouts of insomnia and engaged in charity work. Her cookbooks are characterized by interesting tips on home making and the art of cooking, peppered with literary nuggets and quotations, witty remarks and anecdotes, all of which make How to Cook Fish not just an excellent recipe book but also an interesting and entertaining read. She also provides lists of what fish are in season during particular times of year, thus ensuring that the cook uses only the freshest of ingredients. How to Cook Fish is divided into 45 chapters. The One Hundred Fish Sauces are arranged in alphabetical order, starting with “Admiral Sauce” and ending with “White Sauce.” In between you have recipes for “Brown Tomato Sauce” “Sicilian Sauce” and other such unusual concoctions. Under the chapter One Hundred Miscellaneous Recipes you have items such as Fish a la Brunswick, Chartreuse of Fish, Jellied Fish Salad and many other great variations. This is indeed a great addition to your kitchen library and the clear, simple way in which the recipes are presented would tempt even the least adventurous of cooks to try a hand at one of these delicious sounding creations.
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