Podcasts
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Courant d'ArtSonia Bel
Courant d'art - l'émission qui ne prend pas l'Art pour un Courant d'Air ! Emission sociale et culturelle parlant des sujets les plus simple aux sujets les plus fous, les plus profonds !
l'émission Courant d'art tend à mettre en avant les artistes, et les acteurs de l'art culturel et social, de la vie locale et ainsi que les acteurs et artistes nationaux pour une meilleure information dédiée aux auditeurs et aux auditrices de la radio. Elle apporte aussi la possibilité de faire gagner des invitations en tous genres au public de la radio afin qu'il découvre des spectacles éclectiques. Elle permet aussi de découvrir en live la musique des artistes musiciens.iennes en local et national voir international
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La Didascaliel'Habituel
Dallas n’a qu’à bien se tenir.
Au théâtre la didascalie est une indication scénique écrite par l’auteur complétant le dialogue mais n’en faisant pas partie. C’est un peu ce qu’on va faire ensemble. Préciser des questions, de manière scénique ou non. Répondre à des interrogations, libérer sa parole. Une pointe d’humour, de prise de position et vous avez votre son, votre didascalie.
Au menu : actualité, sentiments, trahison, sexe, drogue et réflexion
Bienvenue dans D I D A S C A L I E !
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Emission proposée et animée par le Laboratoire d'intervention et recherche ATEMIS, dans le cadre du média capacitant "Travail et transitions".
C’est dans l’expérience concrète de la conjoncture que se noue réellement la dimension politique de ce que nous entreprenons. Mais cette confrontation au réel rend d’autant plus nécessaire un dispositif réflexif qui nous aide à comprendre, ensemble, ce qui nous arrive. C’est ce qu’il faut organiser pour tenir debout : faire de nos expériences singulières le ressort d’un nouveau monde à construire.
https://www.atemis-lir.fr
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Tenir le fil, casser le filNadine Janssens
Huit femmes ont accepté de parler de mères, qu’il s’agisse de leur(s) propre(s) mère(s) ou d’elles en tant que mères, parfois les deux en même temps.
« Tenir le fil, casser le fil » part d’un désir naïf d’interroger les mères et les maternités.
Huit voix contant huit histoires qui dialoguent, s’engueulent, s’ignorent ou se répondent. Huit histoires particulières, effilochées et inachevées, qu’une syntaxe - la grammaire du montage – tente d’articuler.
«Tenir le fil, casser le fil » parle donc des mères et des maternités, heureuses ou malheureuses, lumineuses ou sombres, évidentes ou difficiles. Elle parle d’héritage, de souffrance mais aussi de puissance, de transmission, d’assignation de genre, de libre arbitre et de confusion. Huit femmes en décousent avec la mère, la leur, les autres, elles-mêmes. Autour d’une table de cuisine et d’une tasse de café fumante, elles causent des grands thèmes qui chipotent l’humanité depuis la nuit des temps : le bien, le mal, le destin, la fatalité, la liberté, l’amour, la haine, le pardon, le regret, le courage, la peur. La vie et la mort.
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